Il est temps d’inaugurer une nouvelle rubrique sur ce blog : LA CRITIQUE DE COMMUNICATION, entre douceurs et piques.
Pourquoi une critique de communication?
Oui, pourquoi, on ne ferait pas une critique de la communication de certaines entreprises, associations, institutions, etc.? Pourquoi ce genre devrait être uniquement destiné à la gastronomie, à l’art, aux spectacles?
J’entends déjà les hourras (on peut rêver) mêlés aux protestations. Il s’agira ici autant de critiques positives que négatives. Petite précision non sans fondement, puisque pour la plupart d’entre nous la critique est souvent considérée comme intrinsèquement négative. Ce qui est faux. Si tu as un doute, va lire les Combats esthétiques d’Octave Mirbeau (oui, c’est bien Mirbeau et pas Mirabeau, just in case). Mais là, on s’égare.
Je te vois venir : ben oui, elle va parler de ses clients ou de ceux qu’elle aimerait bien avoir ou avec lesquels elle a déjà fait des deals. NON! Je m’engage à ne pas faire de publications sponsorisées et à rester objective. Si un jour, un de mes posts devait être rémunéré, je m’engage aussi à le mentionner.
Et tu ne connais pas encore bien mon petit caractère bien trempé et ma langue absolument pas faite de bois (là, j’entends les rires de mes amis). J’ai souvent des opinions assez tranchées tout en étant passionnée et sachant me prosterner pleine de gratitude devant un chef d’oeuvre. D’où le titre, douceurs et piques…
Le but de la critique de communication
Le but est de se pencher sur des cas précis de communication et de simplement prendre du recul par rapport à toutes les informations reçues chaque jour et pouvoir faire le tri, s’inspirer, s’interroger, s’extasier…ou pas.
Fais ta propre critique de communication
C’est là que tu interviens. Je souhaite que ces billets suscitent le débat, tes commentaires, tes réactions, etc. dans les limites de la bienséance et de la politesse, évidemment, sinon, je ne pourrai pas les publier. Fais-moi grandir par ta propre expertise. Je suis curieuse et j’adore apprendre.
Et pour les timides ou ceux qui préfèrent rester anonymes, il reste la solution de l’email. Bref, échangeons nos points de vue sur notre domaine de prédilection : la communication.
D’ailleurs, s’il y a des exemples que tu souhaites traiter, dis-le moi aussi et j’en parlerai avec grand plaisir.
Le premier thème portera sur une campagne d’affichage dans le domaine de l’humanitaire.
Tu brûles d’impatience, n’est-ce pas?

par Delphine Berclaz